Au cœur de Vanves, ces moniales vivant au rythme de la règle bénédictine nous ont exceptionnellement fait partager leur quotidien. Fort loin des rumeurs de la cité, elle se consacrent à la louange divine. Si près de la capitale, leur prieuré accueille fidèles, quêteurs de sens, âmes en détresse. Témoins et vigies, tels apparaissent les bénédictines de Sainte-Bathilde de Vanves. Le « Prieuré Sainte-Bathilde » de Vanves construit entre 1934 et 1936, est l’œuvre du moine architecte Dom Bellot. L’architecte a utilisé toutes les ressources de la brique, moyens peu coûteux à l’époque. Toutes les proportions des façades et du monastère sont basées sur le nombre d’or. Au sud-ouest de l’église et adossé à elle, se situe le cloître, lieu-symbole de la vie monastique avec son « jardin fermé », porteur d’intériorité. Autour du cloître et sur deux autres niveaux se situent les principaux lieux de vie commune et les cellules des sœurs. Photos © Didier Raux – Source Éric Vatré ( magazine 92Express ) – Voir l’article (pdf)
Au cœur de Vanves, ces moniales vivant au rythme de la règle bénédictine nous ont exceptionnellement fait partager leur quotidien
Situé sur les terres où s’étendait jadis le domaine des princes de Condé, le prieuré Sainte-Bathilde, serré d’immeubles d’habitation, se partage entre le cloître, le logis prioral, le réfectoire et la nef de l’église
Partagée entre les offices et la prise en commun des repas, la vie monastique des sœurs s’égrène entre la prière silencieuse, le chant grégorien et l’écoute partagée de la Lectio divina
Si près de la capitale, leur prieuré accueille fidèles, quêteurs de sens, âmes en détresse. Témoins et vigies, tels apparaissent les bénédictines de Sainte-Bathilde de Vanves
L’église où la communauté se retrouve quatre fois par jour pour y célébrer les offices