À son installation, elle a suscité interrogations et moqueries, puis elle est progressivement devenue comme un des symboles de la ville et du Vieux-Port…lieu de rendez-vous, de photos souvenirs en mode torticolis, de spectacles urbains, d’abri quand il fait chaud (sa fonction première). Signée par le Britannique Norman Foster et l’agence phocéenne Tangram, l’ombrière est un immense plafond miroir de 22 mètres par 48 mètres réfléchissant le quai des Belges et la vie des marseillais et des touristes de passage passant en dessous. Lancés en mars 2012, les travaux du Vieux-Port ont permis de créer une vaste esplanade. Les deux tiers de la surface des quais et de leurs abords sont dédiés maintenant aux piétons contre 30 % précédemment et la coquetterie architecturale imaginée par l’architecte britannique Norman Foster est définitivement accessible au public du (nouveau) Vieux-Port à Marseille. Les ballades le long du vieux port marseillais ont un tout autre intérêt depuis que le cabinet de l’architecte britannique Norman Foster a installé ce miroir horizontal de plus de 1 000 m2, élevé sur quatre pieds au dessus des promeneurs. Cette nouvelle ombrière de 1 000 m2 (46 m de long par 22 m) est censée devenir le lieu de rendez-vous pour les promeneurs, un monument en inox poli, installé à deux pas du point de départ des navettes pour le château d’If et les îles du Frioul. Ce miroir horizontal reflète la mer, les façades et les sols du Vieux-Port. Le coût du chantier s’est élevé à 45 millions d’euros et l’étape suivante consistera, en la création d’une chaîne de parcs qui devrait relier le port au Pharo et à la plage des Catalans, dans une ville où les espaces verts ne sont pas légion. Photos © Didier Raux
Cette nouvelle ombrière de 1 000 m2 (46 m de long par 22 m) est censée devenir le lieu de rendez-vous pour les promeneurs
Miroir réfléchissant le quai des Belges et la vie des marseillais et des touristes de passage passant en dessous
L’ombrière est devenue comme un des symboles de la ville et du Vieux-Port
Lieu de rendez-vous, de photos souvenirs en mode torticolis, de spectacles urbains,